Comme candidat, en 2017, il avait promis « une République exemplaire ». Avait exigé la probité. Avait assuré que les ministres mis·es en examen devraient démissionner. Avait annoncé qu’une condamnation pénale empêcherait de se présenter. Avait certifié que la Cour de justice de la République serait supprimée.
Non seulement rien de tout cela n’a été respecté, mais une quarantaine de ses proches (ministres, député·es, membres de son cabinet) ont été depuis touché·es par des affaires en tous genres.
L'outils informatique est très pratique mais il est aussi très utilisé par les gouvernement pour vous espionner. Heureusement les "pirates" sont là pour nous informer.