Mais le parent d'élève a contre-attaqué en estimant que les Saintes Écritures pouvaient elles-mêmes tomber sous le coup de la loi en raison de mentions d'"inceste, de masturbation, de bestialité, de prostitution, de mutilations génitales, de fellation, de godemiché, de viol et même d'infanticide", liste-t-il dans sa demande d'interdiction.
Via Choses vues, sur le web et ailleurs